Chambre syndicale topographique niçoise Filpac-Cgt

C’est la fin de l’histoire avec Nethys

15 janvier 2019

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     Intersyndicale Nice Matin

Cela suffit ! Assumez vos responsabilités, vous nous menez en bateau depuis des semaines, c’est la fin de l’histoire avec Nethys.                                                                            

Le 5 décembre vous nous juriez que votre intention était de vous investir de façon pérenne dans Nice-Matin.

Vous (Stéphane MOREAU et Marc BEYENS) nous aviez assuré revenir vers nous avant le 15 décembre lors de votre venue à Nice.

On apprend quelques jours avant le réveillon que votre intention est de vendre si vous receviez une offre acceptable !!!!!

La confiance dans ces conditions est rompue. La défiance à votre égard est désormais totale. A nos interrogations légitimes sur la pérennité de notre journal, vous avez le culot de répondre en nous demandant un délai de trois mois pour faire ce que vous n’avez pas l’intention de faire, puisqu’il vous aurait suffi de respecter le pacte au 31 décembre 2018.

Ce délai de trois mois, il n’est pas question de vous l’octroyer. Pourquoi le ferions-nous ? Vous permettre de trouver des partenaires pour découper Nice-Matin en morceaux et ainsi essayer de rentrer dans vos sous. Je vends Monaco-Matin par-ci, je cède Var-Matin par-là, et je monte un tour de table qui, loin de sauvegarder les intérêts de l’entreprise et du corps social, n’a d’autre objectif que de sauvegarder vos intérêts particuliers. Peu importe qu’il y ait Bernard TAPIE ou un spécialiste de l’immobilier monégasque autour de votre table ! Vous n’êtes pas sans ignorer que nous nous sommes battus contre cela avec détermination et avec rage. Gardez cela en mémoire.

Notre entreprise n’a plus trois mois à perdre avec vos tergiversations : nous avons déjà perdu un an dû à votre absence.

A ce jour, nous avons besoin d’un plan de relance, de développement et de restructuration, ce qui aujourd’hui est manifestement le cadet de vos soucis.

Vous ne voulez plus de nous, nous ne voulons plus de vous.

Les bureaux, le 16 janvier 2019